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Chasse
Des bassets hound et des braques de Weimar élevés à Saint-Genest (Allier)
Des bassets hound et des braques de Weimar élevés à Saint-Genest (Allier)
Publié le 15/09/2019 à 10h00
Élodie Ravet élève depuis une dizaine d'année des chiens de chasse à Saint-Genest. © SALESSE Florian
Élodie Ravet élève des chiens depuis une dizaine d’années à Saint-Genest (Allier). Un travail qui lui permet d'allier son amour des animaux et sa passion pour la chasse.
« J’élève des chiens depuis une dizaine d’années. Mes parents étaient dans le milieu cynophile, je connaissais donc un peu, et mon mari est chasseur. Alors élever des chiens de chasse permettait d’être complémentaires », explique Élodie Ravet qui prend soin, au quotidien, de plus d'une vingtaine de bassets hound et de braques de Weimar à Saint-Genest.
Un important travail de sélection
« C’est du travail de sélection en choisissant les lignées les plus adaptées à la chasse. » Et l'éleveuse a un petit faible pour le basset. Elle assure : « C'est un chien bon vivant, gentil, agréable, doux. Il peut aussi bien aller sur le canapé qu’à la chasse. Il est endurant même s’il va à son rythme et il a un flair très prononcé. Il va vraiment donner de la voix sur une voie de gibier. C’est un très bon chien de chasse. »
Et si cette race est plus mise en avant comme chien de compagnie, Élodie Ravet veut changer cela. « On a oublié leur première utilité : la chasse. Ce n’est pas le plus plébiscité mais c’est ce qui est hyper motivant pour moi. Je n’ai pas pris la race la plus facile. Et à chaque fois, les autres chasseurs sont surpris de les voir sur le terrain. »
D'ailleurs, elle-même, ne part chasser qu'avec ses bassets. « Il nous tarde de retourner dans les bois. Et eux aussi ! D’ailleurs, on le voit bien… Dès qu’on sort la clochette et le collier GPS, ils adorent. »
Le travail du chien
Élodie Ravet souligne : « Je vais à la chasse avec dix chiens maximum. Je ne prends pas de fusil, je n’aime pas ça. C’est une chasse au bâton, où les chiens trouvent le gibier. C’est d’ailleurs ce qui me plaît : le travail du chien. Dans les bois, il y a ce rapport à la nature, cette relation avec les chiens… Il y a l’adrénaline. Il y a vraiment un truc qui se passe. » Alors, pour l'éleveuse, il est presque inenvisageable de manquer l'ouverture de la chasse, aujourd'hui, ce dimanche 15 septembre.
Laura Morel
Photos : Florian Salesse
Un important travail de sélection
« C’est du travail de sélection en choisissant les lignées les plus adaptées à la chasse. » Et l'éleveuse a un petit faible pour le basset. Elle assure : « C'est un chien bon vivant, gentil, agréable, doux. Il peut aussi bien aller sur le canapé qu’à la chasse. Il est endurant même s’il va à son rythme et il a un flair très prononcé. Il va vraiment donner de la voix sur une voie de gibier. C’est un très bon chien de chasse. »
Et si cette race est plus mise en avant comme chien de compagnie, Élodie Ravet veut changer cela. « On a oublié leur première utilité : la chasse. Ce n’est pas le plus plébiscité mais c’est ce qui est hyper motivant pour moi. Je n’ai pas pris la race la plus facile. Et à chaque fois, les autres chasseurs sont surpris de les voir sur le terrain. »
« Il nous tarde de retourner dans les bois. Et eux aussi ! »
D'ailleurs, elle-même, ne part chasser qu'avec ses bassets. « Il nous tarde de retourner dans les bois. Et eux aussi ! D’ailleurs, on le voit bien… Dès qu’on sort la clochette et le collier GPS, ils adorent. »
Le travail du chien
Élodie Ravet souligne : « Je vais à la chasse avec dix chiens maximum. Je ne prends pas de fusil, je n’aime pas ça. C’est une chasse au bâton, où les chiens trouvent le gibier. C’est d’ailleurs ce qui me plaît : le travail du chien. Dans les bois, il y a ce rapport à la nature, cette relation avec les chiens… Il y a l’adrénaline. Il y a vraiment un truc qui se passe. » Alors, pour l'éleveuse, il est presque inenvisageable de manquer l'ouverture de la chasse, aujourd'hui, ce dimanche 15 septembre.
Laura Morel
Photos : Florian Salesse